Pour comprendre un peu mieux le vocabulaire lié au domaine de l’impression, ces quelques termes vous seront d’une aide précieuse.
A comme « APLAT » : l’aplat de couleur désigne la teinte uniforme imprimée sur la surface du support.
B comme « BAT » : terme abréviatif de « Bon à tirer », le BAT est la version finale de la maquette que l’imprimeur envoie à son client pour validation. Ce document permet également de dégager la responsabilité du prestataire sur un erreur éventuelle.
C comme « CLASSIFICATION DES BACHES » : la classification des bâches publicitaires dépend de leur capacité à s’enflammer. Les 6 classifications sont : M0, M1, M2, M3, M4 et M5. À noter que M0 est la classe des bâches incombustibles, tandis que M5 est celle des bâches qui s’enflamment très facilement. Les quatre autres sont les classes intermédiaires.
D comme « DENSITÉ » : il s’agit de la quantité d’encres imprimées sur un point bien précis.
E comme « ECHELLE » : l’échelle d’un fichier va définir la taille de la maquette. L’impression grand format d’une bâche publicitaire se fait généralement à l’échelle 1/10.
F comme « FONDS PERDUS » : c’est le synonyme de « bords perdus ». Le client doit prévoir ces zones de sécurité ou marges pour le découpage. A noter que chez bâches-publicitaire, nous ne demandons pas de fonds perdus dans la création des fichiers.
G comme « GRAMMAGE » : il s’agit de la masse surfacique du support. Son unité est le gr/m² (grammes par mètre carré).
I comme « INFOGRAPHIE » : l’infographie est une technique qui utilise l’informatique et des outils graphiques pour réaliser un support d’expression artistique ou graphique.
J comme « JPEG ou JPG » : ces deux formats de fichier informatique sont déconseillés pour l’impression grand format de bâches publicitaires, car leur qualité d’image laisse à désirer. Ils seront utilisés uniquement comme contrôle des fichiers pdf.
K comme « KAKEMONO » : le kakemono est un petit support de communication vertical utilisé en PLV, dans les showrooms ou comme signalétique extérieure devant les enseignes (restaurants, etc.).
L comme « LAIZE » : évaluée en cm, la laize représente la largeur de la bobine du support. Elle correspond à la largeur de l’imprimante.
M comme « MAQUETTE » : la maquette désigne la réalisation graphique du projet avant impression. Ce n’est pas vraiment la version finale.
N comme « NUANCIER » : le nuancier est un document qui rassemble les différentes couleurs, y compris les nuances obtenues par les mélanges d’encres. On l’utilise en thermolaquage, dans la personnalisation des structures en bâche tendue.
O comme « OURLET » : l’ourlet consiste à retourner la toile sur elle-même à la manière d’un bas de pantalon. Le but étant de renforcer la résistance de la bâche sur les côtés afin que celle-ci puisse maintenir parfaitement les œillets.
P comme « PLV » et « PANTONE » : ce dernier mot désigne une gamme de tons formant un nuancier appelé Pantonier. Cette gamme comporte 800 tonalités distinctes les unes des autres.
Q comme « QUADRICHROMIE » : ce procédé d’impression est caractérisé par l’utilisation des quatre couleurs primaires d’impression CMJN (cyan, magenta, jaune et noir).
R comme « RESOLUTION » : il s’agit de mesurer la netteté et la précision de l’image. La résolution en impression est exprimée en dpi (point par pouce).
S comme « STICKER » : c’est un support de communication aux propriétés adhésives. En PLV, on parle de sticker publicitaire qui est un énorme autocollant utilisé en vitrophanie ou comme signalétique extérieure sur les voitures utilitaires.
T comme « TIFF » : ce terme désigne le format du fichier à utiliser pour une image numérique.
V comme « VERNIS » : il s’agit d’une couche d’encre transparente appliquée après l’impression pour protéger le visuel.
Z comme « ZONE TRANQUILLE » : prévue pour intégrer les œillets, cette zone qui se trouve au pourtour de la bâche ne doit comporter ni texte ni visuel afin d’éviter que les œillets ne soient pris dans les éléments graphiques importants.